lundi 8 novembre 2010

www.jeuneafrique.com
Jeuneafrique.com : , Le numéro un mondial du nucléaire Areva est prêt à ouvrir à un partenaire chinois l'exploitation de la mine d'uranium d'Imouraren, dans le nord-ouest du Niger, dont elle est partiellement propriétaire.

Ibrahim Chaibou Dan-Inna
Foutaises!!!!! Et si le nigérien était un mouton???? La liberté s'acquiert par la force. L'indépendance ne se donne pas, elle s'arrache. Le 3 août 1960, la colonisation a pris de le nom de coopération pour anticiper la démocratie. Parce que sinon, tous les Africains de l'ouest seront des citoyens français et De Gaulle ne pouvait accepter cette idée. Tu imagines moi cheveux crépus et nez épaté, superbe couleur de peau ébène cirée, pouvant briguer le fauteuil présidentiel français...? Un haoussa ou un bantou avec les droits et devoirs qu'un alsacien ? C'est ce que supposait l'Afrique Occidentale Française. Chez eux, actuellement tu dois t’intégrer, renier tes origines pour avoir le minimum...Quels sont les droits de nos émigrés en France? Quelle est leur situation? Des partis extrémistes pour chasser le noir, l'arabe et le musulman dans toute l’Europe...Et dans le même temps que font les blancs becs en Afrique, particulièrement au Niger? Ils sont à l'aise chez nous et pas nous chez eux... sommes nous vivants? avons nous une conscient de nous? trahisons et trahisons, nos dirigeants nous trahissent. Nous abattrons les traîtres pour la liberté de notre peuple. Nous nous affranchirons pour l'éternité. L'insurrection est en marche....

Hama Amadou
Tres belle reponse cher ami! Je partage ces frustrations avec vous et je penses que c'est vraie. Cependant, nous avons entendue ces genres de frustrations depuis un siecle maintnant. Allons-nous continuer de perdre notre temps sur de telle considerations ou allons nous joindre a ce qui ont prit des actes concrets pour un changement rapide et meilleurs pour nos peuple. Moi je ne suis pas de ceux qui pensent que la misere et ses corolaires sont une fatalite. Au contraire, je pense que nous avont la responsabilite de nous resaisir pour un Niger meilleurs. Je ne doute ni de nos capacites ni de notre voloonte a y faire face!

Ibrahim Chaibou Dan-Inna
Mon frère, ouvre les yeux. Sais tu qu'il existe une politique médiatique qui a pour but de ne pas mettre la lumière sur le niger...? Sinon pourquoi jusqu'à présent les gens ignorent le niger?? parce qu'on veut qu'il en soit ainsi. Toute personne qui vient au Niger, te dira qu'on n'est pas pauvre. Mais la meilleure manière de nous ghettoiser, c'est de faire de nous un pays à part. Regarde le référendum, c'est une réussite mais qui en parle??? On fait de nous ce qu'on veut. Dieu nous a t'il fait pour être des sous fifre des français, pour fournir la france en uranium?? Sérieusement, tu sens dans notre pays une volonté des gouvernants d'amener le pays vers une destination...??? tu sens qu'on est maître de notre destin nationale?? sans blague...

Ibrahim Chaibou Dan-Inna La France est prête à vous envahir pour sécuriser l'avenir des français ( 300 soldats français en attente au Burkina Faso). Et nous, que faisons pour la sécurité des nigériens? nous dormons sans stress...Sheeeeeba nigérien!

Ibrahim Chaibou Dan-Inna
actuellement l'espoir des nigériens, vous me direz ce sont les prochaines élections... mais quelles sont les probabilités de votre avenir nationale??? Hama vendu au parti de Sarkozy ou mahamadou Issoufou vendu aux socialistes???? Question à 1millions de CFA: qui de ces deux vendus pourra permettre au Niger de jouir de ses ressources naturelles pour les nigériens et non plus les français?? Dépuis DIORI jusqu'à Tandja, la source des coup d'Etat dans notre pays, c'est la problématique de disposer librement de l'uranium pour l'intérêt de notre pays. Et les derniers complots de coup sont aussi et tjr dans cette logique. Salou Djibo en sait quelque chose. C'est pour ça qu'il a anticipé sur le coup d'Etat en enfermant les potentiels militaires pouvant être utiliser pour le déboulonner. Et aller savoir pourquoi, il faut le déboulonner???Question à 2millions de Cfa: Uranium.....?

mardi 12 octobre 2010

Un milliard de personnes ont faim dans le monde ( Le Niger ?)


La faim dans le monde touche un milliard de personnes et prend des proportions inquiétantes dans près d'une trentaine de pays, selon un rapport de l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI), publié lundi 11 octobre. Sur 122 pays en développement étudiés, la faim atteint des niveaux "alarmants" dans 25 pays, notamment en République démocratique du Congo (RDC), au Burundi, au Tchad et en Erythrée.

L'indice mesurant la faim dans le monde est calculé à partir de trois indicateurs : la proportion de la population sous-alimentée, l'insuffisance pondérale infantile et le taux de mortalité infantile. L'indice classe les pays sur une échelle de 0 à 100, 100 représentant le pire. Selon cet indice, la faim atteint un niveau "alarmant" à partir de 20 et "extrêmement préoccupant" à partir de 30. A l'exception de Haïti et du Yemen, tous les pays dans lesquels cet indice a atteint un niveau "alarmant" se trouvent en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud.

La RDC se situe au-dessus de 40 sur cette échelle. "Les conflits qui perdurent depuis la fin des années 1990 ont provoqué un effondrement de l'économie, des déplacements massifs de population et une situation chronique d'insuffisance alimentaire" en RDC, explique le rapport. "L'accès à la nourriture et sa disponibilité se sont détériorés à la suite de la chute de la production agricole et les régions reculées sont devenues encore plus isolées en raison de la grande pauvreté des infrastructures", ajoute le document.

Les 25 pays où la situation est "alarmante" sont par, ordre de gravité croissant, le Népal, la Tanzanie, le Cambodge, le Soudan, le Zimbabwe, le Burkina Faso, le Togo, la Guinée-Bissau, le Rwanda, Djibouti, le Mozambique, l'Inde, le Bangladesh, le Liberia, la Zambie, le Timor oriental, le Niger, l'Angola, le Yemen, la République centrafricaine, Madagascar, les Comores, Haïti, la Sierra Leone et l'Ethiopie.

Vu ici:

http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/10/11/un-milliard-de-personnes-ont-faim-dans-le-monde_1423503_3224.html

LEMONDE.FR avec AFP | 11.10.10 | 15h52 Mis à jour le 11.10.10 | 15h52

mercredi 22 septembre 2010

Uranium nigérien: offre soumise à condition




Pendant des décennies, les autorités françaises ont vendu à leur opinion publique des « contrats d’assurance» garantissant le bonheur énergétique absolu par le nucléaire. Les commerciaux avaient indiqué, mais en très petits caractères, que cette offre était soumise à condition : le cas du Niger.
La condition de ces contrats est aujourd’hui connue du grand public, c’est la sécurité des approvisionnements. Elle est impossible à garantir ad vitam eternam dans ces « anciennes colonies lointaines, pauvres et sans voix, ni loi » si la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) se limite aux discours sur papier glacé. Depuis quelques années, l’uranium nigérien raconte son histoire à travers les crises, mais on l’écoute mal et on le comprend mal, peut-être parce qu’il parle une autre langue.


C’est une femme, vieille à 40 ans, entourée de gamins déshydratés, pieds nus, qui sonne au portail d’un building estampillé AREVA, parce que l’eau, la terre et les aliments sont souillés, parce que ses enfants sont victimes des malnutritions, parce qu’elle se sent la légitimité de demander des comptes à ces gens trop propres et trop occupés qui n’ouvriront pas au motif qu’ils ont « tout régler avec les autorités ». Cette histoire désormais traduite en français porte en elle les germes de l’insécurité. Sa moralité ne justifie pas tout, certes, mais elle tente de tout légitimer ; et là réside l’autre danger.

Lorsqu’en juillet 2007, j’ai été convié à travailler pour la première sur « le dossier Areva au Niger » en compagnie de trois autres conseils en intelligence économique dont deux Français et un Portugais, le briefing m’a immédiatement connecté à un schéma similaire que nos lecteurs connaissent bien: le Delta du Niger. La mission à nous confiée était d’autant plus excitante que ses findings restent d’actualité aujourd’hui : il fallait se mettre sous la peau des « opposants » à Areva au Niger (concurrents, gouvernement, Ong, populations locales et leaders d’opinion), respirer comme eux, penser comme eux, argumenter comme eux, planifier comme eux. C’est extraordinaire de voir la batterie de mesures que nous avions rassemblées, sans être Nigériens, qui pouvaient fragiliser le client. Des images de sources d’eau polluée aux enfants malnutris, etc., rien dans ce décor ne laissait indifférend. Nos recommandations ont peut-être contribué à la signature, début 2009, de l’accord d’Imouraren portant sur 1,2 milliard d’euros d’investissements pour une production annuelle de 5000 tonnes, mais elles n’ont visiblement pas aidé à solutionner les questions liées à la RSE, hélas !

Depuis les turbulences de 2007 qui ont conduit à la rédaction de notre rapport, Areva a pourtant fait de nombreux efforts pour améliorer son image au Niger. Gros inconvénient cependant, un vieux réflexe qui, depuis plus de 50 ans, colle à la classe dirigeante française : un intérêt trop marqué pour une certaine élite (celle qui décide dans les pays d’Afrique riches en ressources stratégiques), au détriment des classes populaires locales. Quand mes clients énarques me disent : « mais enfin, Guy, c’est bien le gouvernement qui signe ces contrats ! », je leur réponds : « c’est aussi vrai que ce sont les pauvres qui cassent et mettent en péril les approvisionnements. Il faut trouver le juste milieu...» Aujourd’hui, Areva se targue d’avoir construit deux hôpitaux aux standards internationaux qui « réalisent 200 000 actes de soins gratuits » chaque année. C’est bien, mais c’est encore largement insuffisant, d’autant que le danger qu’on redoutait le plus durant l’été 2007 pointe son nez : que les extrémistes fassent leur lit des frustrations locales et usurpent ainsi la légitimité d’une cause qui n’est pas la leur.

Bon gré mal gré, « les petites gens du Niger » s’invitent progressivement dans le débat public international sur le nucléaire, comme un enfant qu’on a toujours caché aux visiteurs. Mais à quel prix ? Il faudra du temps et de la patience pour construire un triangle vertueux entre AREVA, les autorités nigériennes et ses populations ; cela passe par une révolution dans la pensée des dirigeants. Et le cas d’Areva n’est pas isolé. Loin s’en faut. Plus que jamais, les industriels internationaux prennent un risque insensé en essayant d’exploiter les ressources naturelles des pays pauvres où les populations locales leur sont ouvertement hostiles.

GUY GWETH, CONSEIL EN INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE, GWETHMARSHALL CONSULTING.

lundi 26 juillet 2010

Un grand pas dans la lutte contre la corruption


Les entreprises d'extraction cotées à la Bourse américaine seront désormais tenues de rendre publiques les commissions qu’elles versent aux gouvernements pour exploiter leurs ressources. Cette mesure, qui vient d’être adoptée par le Congrès des Etats-Unis, est saluée par le Financial Times comme une étape importante dans la lutte contre la corruption.



Aucune loi ne peut être adoptée par le Congrès américain sans être accompagnée de fragments de textes sans aucun rapport avec le projet initial. Toutefois, dans le cas du projet Dodd-Franck sur la réforme financière, cette cuisine politique a permis l'introduction d'un additif particulièrement appétissant : une nouvelle obligation de transparence pour les compagnies pétrolières, gazières et minières.

La loi, présentée par les sénateurs Benjamin Cardin et Richard Lugar, oblige toute entreprise américaine menant, où que ce soit dans le monde, des activités dans l'industrie du pétrole, du gaz ou des minéraux à indiquer dans son rapport annuel le montant de ses contributions à la Securities and Exchange Commission [le gendarme de la Bourse américaine]. Si elles veulent avoir accès aux marchés des capitaux américains, les entreprises - nationales et étrangères - devront publier toutes les redevances, taxes et autres paiements effectués projet par projet, pays par pays.

Avec cette initiative, le Congrès américain ajoute le poids de la loi aux critères de transparence déjà existants dans l'industrie : le texte fait explicitement référence à l'Initiative - volontaire - sur la transparence des industries extractives (ITIE). Cela fait longtemps que la société civile a fait du durcissement de ces critères de transparence une obligation légale et non plus seulement morale.

Les raisons ne manquent pas. Trop souvent, la présence de réserves pétrolières ou minérales dans un pays se traduit par une aggravation de la pauvreté alors que les revenus liés à l'extraction encouragent le gaspillage et la corruption, et alimentent les conflits violents. L'opacité dans les comptes des entreprises s'accompagne régulièrement de complicité avec des dirigeants trahissant les intérêts de leur propre peuple. La transparence ne suffit pas à elle seule à résoudre tous ces problèmes, mais elle contribue à les identifier et à y remédier. Voilà qui servirait les intérêts américains en matière de sécurité nationale, car les Etats-Unis importent une part importante de leur pétrole auprès de pays aux mains de gouvernements véreux.

Certaines entreprises se sont opposées à cette initiative. Elle ne représente pourtant pas un lourd fardeau pour les industries minières et pétrolières qui soutiennent déjà l'ITIE. En réalité, une obligation légale bénéficiera à toute l'industrie en forçant les sociétés les moins scrupuleuses à respecter des standards plus élevés. Ces entreprises dépendent tellement des financements américains que c'est l'immense majorité des multinationales du secteur qui sera concernée.

L'argument selon lequel il deviendra plus difficile de rivaliser avec des entreprises publiques [donc non cotées] moins transparentes n'est guère convaincant. Les grands groupes nord-américains et européens, mais également le brésilen Petrobras, possèdent une technologie et un savoir-faire supérieurs à toute entreprise publique. Il est de toute manière préférable d'éviter de s'implanter dans un pays où le pouvoir n'accueille à bras ouverts que les entreprises qui pourront l'aider à piller les richesses nationales.

Même s'ils n'attaquent pas de front, les Etats-Unis ont encore une fois repris la main dans la lutte contre la corruption. Le reste du monde doit à présent suivre.

Copier sur www.courrierinternational.com

lundi 12 avril 2010

NIGEROIS, NIGEROISE







Bonjour Cher compatriotes, En cette occasion solennelle, je suis fière de vous informer que désormais vous êtes tous, hommes et femmes, vieux et jeunes, riches et pauvres, citoyens du Niger des "NIGEROIS".



Aujourd'hui Lundi le 12 Avril 2010 à 7h 55, j'ai lu un mail qui m'a été envoyé par Cheikh Boureima Abdou Daouda, éminent prédicateur, Imam de vendredi de la mosquée de l'université Abdou Moumouni de Niamey et actuellement membre du Conseil Consultatif National. Il a fait part dans son email du poids de leur responsabilité dans ce Conseil pour le peuple du Niger. Ce qui se comprend pour toutes personnes de ce pays éprise de justice, de paix et d'ambition pour ce pays. Mais ce qui m'a le plus marqué, ce qu'il a désigné les citoyens du Niger avec le terme "NIGEROIS". Au debut, j'ai pensé à une erreur. Dans la suite de l'article, il a eu à le répéter une deuxième fois.

J'ai trouvé que c'est un excellent qualificatif digne des petits fils de rois et guerriers que nous sommes. Je pense qu'il est nécessaire que nous choisissons, en toute chose, ce qui est meilleur, honorable et digne. Et surtout plus conforme à ce qui doit être les aspirations, les valeurs d'un peuple digne. Faisons notre révolution. Changeons ce qui n'est pas bien par ce qui est meilleur. Êtes-vous prêts à accepter le changement? le Vrai, le profond, le juste, le progressiste, celui qui unit, qui rend fière......

De notre capacité à accepter ce nouveau qualificatif dépendra toutes les améliorations que nous souhaitons apporter à la vie politique et économique de notre société. En ce sens que, de la même façon que nous pouvons nous changer de qualificatif, nous pouvons aussi changer tous ce qui nous concerne dans quelques pans que ce soit de notre vie en tant que peuple. Nous sommes libres de nous appeler comme nous le voulons. Qui nous a donné le nom par lequel, jusque là, nous nous sommes appelés? En ce cinquantenaire de notre indépendance, nous devons être les seuls à décider en toute chose ce qui est bien pour nous. Et si nous décidons de nous appeler nigerois qui nous l’en empechera?



Cheikh Boureima Abdou Daouda a trouvé que c'était meilleur de s'appeler nigerois et moi aussi. je suis fière d'être nigerois. Et vous?




Fraternellement,
Ibrahim Chaibou Dan-Inna

mercredi 2 décembre 2009

L’affaire Yandaka ne doit pas rester impunie

Assan Midal a envoyé un message aux membres de Les sales affaires au Niger.

Toute bonne carrière, qu’elle soit politique, professionnelle ou autre, est constituée de bonnes œuvres qui en font justement la grandeur de l’homme qui l’avait si bien menée. C’est ainsi qu’elle devient une référence pour les générations futures et inspire même certains idéologues et autres penseurs contemporains. Cette bonne carrière, le président Mamadou Tandja l’aura ainsi pleinement remplie si elle n’était pas entachée par certaines actions malpropres de certains de ses plus proches collaborateurs dont l’actuel gouverneur de la région de Zinder , Yahaya Yandaka .

En effet, il est aujourd’hui indéniable que le président Mamadou Tandja a, tout au long de son mandat démocratique, posé des actes qui l’ont pour, ainsi dire, propulsé au rang des hommes ayant contribué à l’essor de notre pays. Les toutes dernières actions en acte l’attestent profondément. Qu’il s’agisse de la concrétisation de la construction du 2ème pont de Niamey ou de celle du barrage de Kandadji ou encore celle de la raffinerie de pétrole de Zinder, ces actions du président Tandja couplées au programme spécial dans certains de ses volets s’inscrivent fort opportunément dans la réussite d’une carrière qui n’était, reconnaissons-le, à ses premières heures prometteuses. Cette carrière aurait été pleine si quelque part elle ne reflétait pas un goût d’inachevé avec notamment, comme l’évoquions tantôt, des actions comme celle de Yandaka.



Hormis le fait gouverneur se soit comporté comme son ami d’hier, le sieur Dan Dubai notamment dans la fameuse des prétendus 400 millions mis à la disposition de Dan Dubai pour battre campagne au referendum, une affaire que des opportunistes ont brandi pour discréditer la refondation de la République par rapport à laquelle beaucoup de ragots ont été relayés par la presse. La dernière affaire dans laquelle le gouverneur s’est plongé est relative au dernier détournement de plus de 7 millions destinés aux sinistrés de la région d’Agadez. Un cas parmi tant d’autres de mauvaise gestion qui ont eu pour effets immédiats de salir toute la vison politique du président Tandja car restés encore impunis malgré sa gravité.



Yandaka semble être l’un des rares coqs de la basse-cour à ne pas s’inquiéter de l’épizootie de la grippe aviaire qui attaque toutes ces poules et tous ces autres coqs qui ont eu la malchance d’avoir mal géré. Il s’est procuré le vaccin très tôt et reste encore confiant que l’épizootie passera sans aucune chance de l’emporter. Yandaka pense qu’il a gagné toute la confiance du chef de l’Etat au point où il estime que ce dernier semble fermera les yeux sur toutes les révélations compromettantes qui ont fait la une des journaux de la place en ce mois de novembre 2009 et qui, d’une façon ou d’une autre, constituent aujourd’hui une épine sous son pied.



Yandaka est pour Tandja comme ce « lézard du bout de la jarre » de cette sagesse hausa. Sinon comment comprendre que le gouverneur puisse se permettre de vouloir faire mains basses sur des sommes mises à la disposition de pauvres citoyens. . Ce black-out sur yandaka reste l’une des taches qui risque de ternir le processus de refondation voulue par les populations nigériennes.. Cette affaire de détournement des fonds destinés aux nécessiteux d’Agadez par Yandaka a choqué tous les nigériens Nous avons voulu en parler parce qu’elle est caractéristique, non pas pour d’autres considérations. Elle nous a semblé peu orthodoxe et surtout saute à l’œil de tout citoyen malgré les trésors d’énergies et les flots de communiqués déployés pour la présenter autrement. Elle fait également chorus avec cette assertion qui demande de ne pas « mélanger carotte et bâton ».

Yandaka doit partir pour que se poursuive la refondation dont l’ultime objectif est de léguer aux générations futures un Niger débarrassé des mauvaises pratiques.



29 novembre 2009


Publié le 29 novembre 2009

lundi 16 novembre 2009

Le développement économique et la démocratie politique


" En vérité, on ne le sait pas et je voudrais ici rapprocher deux concepts qui intriguent les chercheurs : le développement économique et la démocratie politique.

Sont-ils liés ? L’une, la démocratie, procède-t-elle de l’autre ? Si c’est le cas, comment explique-t-on que l’Inde, le Sénégal, Maurice, pour ne citer que ces trois cas, se soient installés dans la démocratie politique bien avant de prétendre au développement économique ?

Et la Grèce et le Portugal ? N’ont-ils pas renvoyés leurs colonels ou leurs généraux pour embrasser la démocratie avant de s’employer à développer leurs économies ?

Et qui peut assurer, à l’inverse que le parti communiste chinois cèdera la place au multipartisme et à la démocratie, dans dix ou quinze ans, après avoir mis l’empire du milieu dans l’orbite du développement ?

Les politologues ou les économistes s’accordent à dire que la démocratie et le développement sont les stades suprêmes de l’évolution des pays, le niveau auquel ils aspirent à s’élever. De même qu’en économie il y a des pays qui méritent le beau nom d’émergent, en politique il y en a qui émergent de l’autocratie.

Les politologues et économistes divergent cependant on avoue même leur ignorance dès qu’il s’agit de désigner la port à ouvrir, d’indiquer où se trouve la clef et dans quel sens la tourner pour actionner le mécanisme de la serrure.

Des pays comme le Brésil, l’Inde ou la Turquie ont tâtonné pendant plus d’un demi-siècle avant de voir s’ouvrir devant eux, tout d’un coup et à l’improviste, la porte du développement économique.

Pourquoi à ce moment-là, et pas avant, ni après ? Qu’est-ce qui a été déterminant pour déclencher le déclic ? Quelle est la marche qu’il fallait franchir pour entrer dans le cercle vertueux du développement ?

A ces questions, il y a autant de réponses que d’économistes. Il en va de même pour l’entrée d’un pays sans possibilité de rebrousser chemin dans l’aire démocratique : en Asie, après l’Inde et le Japon, Singapour et la Corée du Sud y ait fait leur entrée pour de bon. Mais et la Thaïlande et l’Indonésie ?

Sur le continent Africain, plus précisément en Afrique Subsaharienne, le Sénégal est-il à l’abri d’un retour en arrière ?

Et quels sont, après l’Afrique du Sud, Maurice, le Botswana, le Mali, le Ghana et le Cap-Vert, les pays décidés à franchir le pas et qui sont, en même temps capables de le faire ? "

Extrait de "Ce que je crois" de Bechir Ben Yadmed

Jeune Afrique

mercredi 11 novembre 2009

Non à la Négociation de la CEDEAO pour le partage du pouvoir au Niger



Nous ne voulons pas, au Niger, d’une solution à la Malgache. Veuillez lire le communiqué ci dessous pour prendre connaissance de la pléthore de postes inutiles (452) créés pour contenter les dinosaures de la politique malgache. Toute la classe politique malgache s'est casée dans le gouvernement de Transition. Un poste pour chacun. Est ce que ce sont ces types de solution qu'ils estiment "démocratiques" juste parcequ'elles satisfassent les politiciens qui permettront le développement de l'Afrique?

Communiqué de la réunion des chefs de file des mouvances politiques
de Madagascar tenue au siège de l’union africaine a Addis Abeba
du 3 au 6 novembre 2009

À l’invitation de M. Jean Ping, Président de la Commission de l’Union africaine (UA), et en application des recommandations de la troisième réunion du Groupe international de contact sur Madagascar, tenue à Antananarivo, le 6 octobre 2009, les chefs de file des quatre Mouvances politiques de Madagascar, les Présidents Albert Zafy, Didier Ratsiraka, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, se sont réunis au siège de l’UA à Addis Abéba, du 3 au 6 novembre 2009, avec la facilitation de l’Equipe conjointe de médiation en vue du règlement consensuel des questions pendantes, dans le cadre de la mise en œuvre des Accords de Maputo.

À cet égard, les chefs de file des Mouvances politiques de Madagascar ont examiné les points ci-après :

  1. les institutions de la Transition ;
  2. les missions de la Transition ;
  3. l’organisation et la participation aux élections
  4. les nominations au sein des institutions de la Transition ;
  5. l’application des Accords et le Mécanisme de suivi.

Les chefs de file des Mouvances politiques de Madagascar sont convenus de ce qui suit :

1. la validation du consensus réalisé au cours de la 3ème réunion du Groupe international de contact (GIC), tenue à Antananarivo le 6 octobre 2009, sur le Président de la transition, le Premier Ministre, chef du Gouvernement de consensus, le Congrès de la Transition, le Conseil supérieur de la Transition, le Conseil national de Réconciliation, le Conseil économique et social, ainsi que sur les trois vice Premiers Ministres ;

2. la création de deux postes de co Présidents de la Transition attribués respectivement à la Mouvance Zafy et à la Mouvance Ravalomanana et qui forment, avec le Président de la Transition, le Conseil présidentiel ;

3. la répartition des responsabilités au sein des institutions de la Transition comme suit :

  • Président de la Transition exerçant les fonctions de chef de l’Etat : M. Andry Rajoelina ;
  • Co Président de la Transition : Dr. Emmanuel Rakotovahiny
  • Co Président de la Transition : Fetison Rakoto Andrianirina
  • Premier Ministre de consensus, chef de Gouvernement : Eugène Mangalaza
  • Président du Congrès de la Transition : Mamy Rakoto Rakotoarivelo
  • Président du Conseil supérieur de la Transition : à désigner par la Mouvance Rajoelina
  • Président du Conseil National de Réconciliation : Pr. Albert Zafy
  • Président du Conseil économique et social : à désigner par la Société civile
  • Vice Premier Ministre : à désigner par la Mouvance Ravalomanana
  • Vice Premier Ministre : à désigner par la Mouvance Zafy
  • Vice Premier Ministre : à désigner par la Mouvance Rajoelina

4. des clefs de répartition pour l’attribution des postes au sein des institutions de la Transition ainsi qu’il suit :

a. Gouvernement : 31 membres

  • Mouvance Rajoelina : 6
  • Mouvance Ravalomanana : 6
  • Mouvance Ratsiraka : 6
  • Mouvance Zafy : 6
  • Autres sensibilités : 7

b. Conseil supérieur de la Transition : 65 membres

  • Mouvance Rajoelina : 13
  • Mouvance Ravalomanana : 13
  • Mouvance Ratsiraka : 13
  • Mouvance Zafy : 13
  • Autres sensibilités : 13

c. Congrès de la transition : 258

  • Mouvance Rajoelina : 50
  • Mouvance Ravalomanana : 54
  • Mouvance Ratsiraka : 52
  • Mouvance Zafy : 52
  • Autres sensibilités : 50

d. Conseil économique et social : 72

  • Mouvance Rajoelina : 10
  • Mouvance Ravalomanana : 10
  • Mouvance Ratsiraka : 10
  • Mouvance Zafy : 10
  • Organisations de la société civile : 32

e. du Conseil national de réconciliation

  • Mouvance Rajoelina : 2
  • Mouvance Ravalomanana : 2
  • Mouvance Ratsiraka : 2
  • Mouvance Zafy : 3

f. Haute Cour de Transition, dont les 11 membres sont désignés ainsi qu’il suit :

  • un membre par le Président de la Transition ;
  • un membre par le Conseil supérieur de la Transition ;
  • un membre par le Congrès de la Transition ;
  • un membre par le Conseil national de réconciliation ;
  • trois membres par le Conseil supérieur de la Magistrature, et
  • quatre membres par les Mouvances politiques.

g. Comité de Réflexion sur la Défense et la sécurité nationales

  • Mouvance Rajoelina : 2
  • Mouvance Ravalomanana : 2
  • Mouvance Ratsiraka : 2
  • Mouvance Zafy : 2

Les chefs de file des Mouvances politiques de Madagascar se sont, en outre, engagés à :

a. créer une Commission électorale nationale indépendante (CENI), qui sera mise en place par la Conférence nationale dès sa première session ;
b. mettre scrupuleusement en œuvre les Accords de Maputo du 9 août 2009 ;
c. mettre en place, sous l’égide de l’UA, un Mécanisme de suivi comprenant en outre la SADC, l’OIF et les Nations unies, institutions garantes de la mise en œuvre de la Charte de la Transition et des Accords de Maputo.

Ces points d’accords font l’objet d’un Acte additionnel, adopté et signé à Addis Abéba, le 6 novembre 2009, par les quatre chefs de file des Mouvances politiques de Madagascar, et faisant partie intégrante de l’Accord politique et de la Charte de la Transition, signés à Maputo le 9 août 2009.

Les chefs de file des Mouvances politiques de Madagascar réitèrent leur reconnaissance aux membres de l’Equipe conjointe de médiation, en l’occurrence MM. Joaquim Chissano, Ablassé Ouedraogo, Edem Kodio et Tiébilé Dramé, aux Organisations internationales qu’ils représentent, à savoir, l’UA, la SADC, l’OIF et les Nations unies, aux membres du Groupe international de contact sur Madagascar, ainsi qu’à la communauté internationale dans son ensemble, pour leurs précieuses contributions au processus de sortie de crise à Madagascar. Ils expriment leurs sincères remerciements à la Commission de l’Union africaine, ainsi qu’au Gouvernement éthiopien pour l’accueil qui leur a été réservé et les dispositions prises pour l’organisation des travaux et le séjour de toutes les délégations à Addis Abéba.

Fait à Addis Abéba, le 6 novembre 2009(source : http://www.madagascar-tribune.com)

vendredi 6 novembre 2009

foutaise a Ecobank, cris d'alarme d'un employe a faire suivre absolumen

Message non signé dont nous dégageons toute responsabilité quant aux noms cités et la véracité des faits. Épris de justice et de vérité, nous le faisons suivre afin que les personnes concernées fassent droit de réponse et qu'il ait débat pour qu'éclate la vérité. Quoi qu'il en soit, nous devons exiger le respect. C'est la moindre des choses quand on est vraiment chez soi. Et nous sommes vraiment chez nous. Nous sommes au Niger. Au Niger, les intérêts des Nigériens sont prioritaires sur ceux de toute autre personne, Etat ou groupe international......comme c'est le cas dans tous pays qui se respecte.

---- Message transféré ----
De : mahammadou abdouramane
À : chaibou ibrahim
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Envoyé le : Jeu 5 Novembre 2009, 22 h 04 min 47 s
Objet : foutaise a Ecobank, cris d alarme d'un employe a faire suivre absolument

Bonjour à tous,

Notre mail fait suite à celui de
BAYANACK dans lequel il nous
présentait les nouveaux venus à ENE. Nous commençons par
demander qu’on cesse
de nous prendre pour des imbécil dans cette bank. On
voudrait nous faire croire
que c’est une nouveauté alors que c’est
une façon de trompé les gens, de
détourné leurs attentions de ce que tout le monde voit et
qui est réel, une
manière bête de montré qu’on
s’assume.

Les noms sont flagrants, nous savons
tous que le 1er est le
fils du 1er ministre sortant seyni oumarou et
qui est pressenti pour
être très bientôt président de l’assemblée. Le
2e est le fils de
seyni sanda conseiller du président tandja.la
3e nous ne savons pas
exactement qui elle est mais tout le monde sait
qu’elle n’a pas atterri par
hasard là bas. Elle est venu pendant le mois de ramadan
soit moins de 2 mois en
arrière. On nous a fait croire à tous qu’il n y
aura pas de recrutement au
wholesale. La stagiaire qui y était a donc décidé de
retournée sur les bancs.
On l’a remplacé par Zalika Lawson. Mais sitôt cette
fanta venue, Zalika a été
transférée à l’agence d’ecogar. même si
pour l'instant nous ne savons pas qui
est derrière elle, on est sûr qu'au pire des cas elle
va payer par les fesses
(car nous connaisson nos boss).La grande perdante dans tout
ça est Nafissa
Souley qu’on a contraint de laissé sa place de
gestionnaire de compte de
l’agence d’ecogar (au profit de zalika
lawson) pour aller servir la caisse
à l’agence de la rive droite. Jugez vous-même ces
actes.

Pour revenir à leur cursus, ils
contiennent tous des mensonges. La
carière du petit seyni oumarou.a commencé à atlantique
bank. Il a fait des
breves passages à ecobank et à la bceao alors qu’il
était étudiant. Nous vous
défions d'aller vérifié. Nous somme à Niamey
ou tout le monde se
connaît.Qui va quitter la bceao qui est la banque mère
pour servir une banque
primaire si ce n’est peut être pour être DG.
qu'on ne nous dise pas qu'il a une
grande expérience bancaire!

Le petit sanda n’a aucune
expérience, nous disons bien aucune;
expérience zéro.ce sont les stage et service civique au
CPI et CFE qu’on veut
camoufler comme ça ? il y a un jeune garçon du nom
de saidou qui pendant
des mois travaille avec Mme Degbey au Légal. Et lui, que
voulez vous
qu’il devienne ? et vous n’aurez pas honte
de lui demander de former le
boubacar seyni sanda comme vous savez bien le faire à ENE.
c'est pour le
remercier par la suite.

Pour revenir à fanta traoré, entre
nous, quel àge a-t-elle pour avoir
acquis tout ce qu’on a cités la comme
expérince? les petits stages de
vacances et en vue de la rédaction de son mémoire
c’est avec cela qu’on veut
nous impressionnés et justifier son recrutement ?
elle est a expérience
zéro aussi! Mais il fallait lui faire le contrat depuis
qu’elle est venue !
nous ne douterons pas qu’elle a été
débauchée ! mais là tout le monde sait
qu’elle a déjà touché des frais de stage
d’abord ! vous avez été
maladroits !



Pourtant, on ne cesse de nous faire
croire qu’on a soumis au siège le
besoin de recruter et on attend son ok ! il ya moins
de 2 mois, 4
temporaires ont été confirmés et les autres ont vu leur
salaire tempo augmenter
de 30.000 frs. ou est ici la restriction budgétaire
qu'on ne cesse de brandir
aux gens? on a même commandé des voitures pour les
chefs de département là
ou certains cherchent à se casés. Voici
l’analyse que nous faison :
nous posons 2 hypohtèses.

1ère hypothèse : on se
fout de nous, le siège n’a
aucune main mise sur les recrutements; tou se décide
ici

2ème hypothèse : le
siège a donné son aval pour
recruter, on a pioché 4 chanceux qu’on a
confirmés(diallo fatouma, zamanka
kader,yahaya rachid et zeinabou). Les autres on leur a
augmenté 30 000
francs chacun afin d’économiser sur les salaires
qu’on devait leur
donner pour gonfler le résultat comme c’est la fin
d’année. Entre temps, les
places offerts par le siège vont profité à
d’autres (comme c'est le cas),
au grand détriment de ceux aux noms de qui le quota a
été négocié. et bêtes
qu'ils sont nos stagiaires et temporaire, ils sont
allés remercier DG et DRH
comme si c'est de l'omone qu'on leur a fait.
avec des comportements comme ca
qui va vous confirmer puisque vous avez montré qu'on
vous déjà assez.



Il faudra qu’on apprenne à dire
non à certaines choses à ENE.
Apprenons à dénoncer certaines injustices. les
délégués de personnel, on
compte sur vous. si nous avons voté c'est pour que
certaines dérives cesse.

on ne peut constituer une seule famille
avec de tels frustrations.
vous ne l'encourageait pas.


nous avons marre de perdre du temps
à former des stagiares pour
les laisser partir. quand des nouveaux recrus viennent, il
faut les former
encore. nos dires sont vrais et ns défions quiconque qui
veut a venir
vérifier. Au CAD le jeune Moutari a plus de 2 ans, on
attend quoi pour le
confirmer? s’il ne vaut rien, remercier le bon
sang ! kader IRO de la
clientèle est à sa 3ème année aussi.il bosse et tous
les clients l’aiment mais
on refuse de le prendre. ils sont combien de caissiers à
toucher des miettes, à
passer leur temps à payer des manquants qu'ils non pas
mangé? Un stagiaire du
controle interne est en ce moment hospitalisé
parcequ'il a contracté la
tuberculose dans la bank. vous avez vacciné les titulaires
et vous avait laissé
les stagiaires à l'exception des caissiers. lui il
n'est pas à la caisse mais
il a été touché! chacun a le contact avec chacun.


tous ceux qu'on a
cités n'ont pas envie d'être embochés? les
uns souffre et les fruits profite à
d'autres!


Pour finir, nous voudrions nous adresser
à 2 personnes :

1-KANE Mahamadou :tu as atteins le
grade de directeur au sein du
groupe (même si c'est par la courbète). On ne voit
pas de quoi tu as peur. Tu
ne contredis jamais le DG et c’est tes compatriotes
qui en souffrent. Tu ne
défends que tes propres intérêts. Si tu ne sais
pas, en parlant de toi dans
la banque on dit « la putte du DG ». si
quelqu’un d’autre ce comporte
comme toi,on va dire que c’est parcequ’il est
de telle ou telle famille. Or toi
tu es un prince. En conclusion, il faut comprendre que
c’est le caractère et
les actes de l’homme qui le rendent noble, pas ses
ancêtres. réveille toi don
allah.

2-SOULEY Directeur des oprétions et
technologie :toi dans ta
direction il n y a pas de vivant.tu as tué tout le monde.
Tu ne te défends même
pas à plus forte raison défendre tes agents. Tout profite
aux autres, tes
agents et toi vous observez..on dirait que tu n’es pas
un kanuri.CHANOU va te
manger ?Même l’intérim du DG il préfère
confier ça à Mme Degbey du Légal
quand il bouge et que KANE et DAMBABA sont absents. tu
n’es pas n’importe qui,
tu es un DOT. on n'a qu'a verifier la catégorie
des signatures pour voir là ou
tu te situes!Depuis que tu es venu à la tête des OPS
personne n’ été
recruté.depuis l’ouverture de la banque jusqu’
ce matin il y a 2 personnes
seulement aux transferts. Leur stagiaire Mahamane qui
travaille conne un
âne a failli être chassé pourtant il sert tout le monde
à la plate forme,
jusqu’au CAD et au Legal.. Au reconsaylement, il ya un
seul titulaire assité de
2 tempos. C’est à ENE seulement que c’est
comme ça. pourtant il a été ordonné
depuis E-processe de renforcer des équipes de
reconsiliation. dans Niamey, seul
à ecobank une seule personne fait compense, Marie soumai.
c'est normal qu'elle
soit toujours sur les nerfs!

VRAIMENT NOUS REGRETTONS TA PERIODE
DABOIKO ET C'EST POURQUOI TU AS ETE
COPIE.

QUE TOUS CEUX QUI SONT EPRIS DE JUSTICE
TRANSFERENT CE MAIL A CEUX QUI
NE L'ONT PAS RECU. QU'IL FASSE LE TOUR DU MONDE
S'IL LE FAUT CAR IL FAUT QUE
CERTAINES PRATIQUENT CESSENT!

QUE TOUS CEUX QUI ONT RECU CE MAIL AUSSI
PRIENT POUR QUE DIEU FASSE
TRIOMPHE LE VERITE SUR LE MENSONGE.

lundi 26 octobre 2009

Chaque Nation façonne la démocratie à sa manière



« Comme je l’ai dit au Caire, Chaque nation façonne la démocratie à sa manière, conformément à ses traditions. Mais l’histoire prononce un verdict clair : les gouvernements qui respectent la volonté de leur peuple, qui gouvernent par le consentement et non par la coercition, sont plus prospères, plus stables et plus florissants que ceux qui ne le font pas.

Il ne s’agit pas seulement d’organiser des élections, il faut aussi voir ce qui se passe entre les scrutins. La répression revêt de nombreuses formes et trop de pays, mêmes ceux qui tiennent des élections, sont en proie à des problèmes qui condamnent leur peuple à la pauvreté. Aucun pays ne peut créer de richesse si ses dirigeants exploitent l’économie pour s’enrichir personnellement, ……personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort et à la corruption. Ce n’est pas de la démocratie, c’est de la tyrannie, même si de temps en temps on y sème une élection çà et là, il est temps que ce style de gouvernement disparaisse » Jeune Afrique N°2532 du 19 au 25 Juillet 2009.Page 26.

Deviné de qui sont ces propos...vous n’allez peut être pas le croire, mais ils appartiennent à un des grands de ce monde, et peut être même le plus grand ; puisqu’il est l’homme fort de la plus grande puissance démocratique, économique, militaire, politique et technologique de ce monde à savoir les Etats Unis. Vous l'avez compris, il s'agit de Barack H. OBAMA. Ces propos sont les siens. C’était lors de son deuxième discours historique après celui du Caire ; Le discours d’Accra.

Jai choisi cet extrait pour vous mettre dans le contexte de mon analyse, ma manière de voir les choses qui je crois n’est pas un film personnel mais une réalité véridique qui relève de la raison, chose la mieux partagée au monde ; Comme nous le montre ici le Premier Président Noir des Etats Unis d’Amérique et 44ième Président de l’Etat considéré comme la 1ère démocratie sur terre.

En substance que faut-il retirer de ces propos ? Que chaque Nation a le droit à une démocratie sur mesure, tenant compte de ses traditions, valeurs et culture…. Que cela veut il dire ? ben que la Chine, la Russie, le Burkina Faso sont des démocraties bien établie.

En effet, la chine est une démocratie avec un parti politique unique et communiste. Et cela a-t-il dérangé quelqu’un ? Offusqué l’Union Européenne, les Etats Unis ou….. la CEDEAO. Qui a le droit de dire que cela n’est pas juste pour les chinois en dehors des chinois ? Ce n’est pas même pas inimaginable. Toutes les grandes puissances démocratiques pourtant entretiennent des relations commerciales, diplomatiques et militaires parfaites avec la chine. En réalité, le pays du soleil levant est même considérer comme un modèle de réussite.

La Russie, de même a son modèle démocratique fait de ses particularités brutales rythmées d’assassinats politiques, d’oligarques et de dévolution du pouvoir par adoubement. Je n’ai pas souvenance que l’Union Européenne, les Etats Unis ont coupé leur relations diplomatiques et commerciales avec ce pays.

Pour le Burkina Faso, qu’est ce qui n’a pas été fait dans ce pays comme exactions aux droits de l’homme et des libertés fondamentales? Aujourd’hui c’est le Président de ce pays, après plus de 25 ans de règne sans partage, qui est choisi comme médiateur par l’Union Africaine pour résoudre des conflits. Si Vous pensez que c’est grâce à sa sagesse qu’il s’est imposé dans la sous région, vous vous gourez le doigt dans l’œil. C’est le fruit de la grandeur du pays qu’il a pu construire militairement, économiquement et politiquement.

Le respect que c’est trois pays inspirent dans le monde ne tient pas à leur manière de passer le pouvoir, de choisir un dirigeant, Non ! Mais plutôt dans le respect, la grandeur, la considération qu’il accorde à leur pays en l’organisant, le construisant, l’aménageant. En nourrissant, soignant, éduquant et protégeant ses citoyens.

Et les dirigeants de chacun de ses pays ont eu à affronter les résistances de l’environnement international caractérisé par la concurrence des Etats dans la quête de la prééminence et de l’influence. Tous les états veulent être développés, avoir la richesse, la puissance, la sécurité pour leur citoyens, etc...mais ne se le souhaitent pas les uns aux autres. C’est un peu le cas de la bombe nucléaire.

Ce genre de chose ne peut se réaliser sans classe dirigeante forte. Pendant longtemps, le Niger a été dirigé par des pantins, des girouettes qui n’ont aucun idéal, aucune vision pour leur pays. Les grandes oeuvres ne se réalisent qu’avec des grands hommes. Aucuns grands Etats ne s'est construit avec une classe dirigeante ayant du mal à faire la différence entre les intérêts de leur propre pays et ceux des autres pays.

C’est cette vieille classe politique déchue, désavouée par ses militants (dont certains se sont présentés aux élections en tant qu'indépendants), qui dans ses derniers balbutiements va à l’extérieur chercher des problèmes pour leur propre pays, par des pressions au sein des institutions régionales et sous régionales.

Quelles sont les priorités de notre pays ? Si tout le monde est conscient des impératifs de développement qui nous incombent, le plus important n’est pas de perdre du temps à faire passer le pouvoir d’une classe dirigeante à une autre. On perd du temps à se battre pour être chef alors que l’on peut gagner du temps à avancer vers notre objectif de développement derrière un chef. Le développement comme l'a dit OBAMA tient plus à la bonne gouvernance qu'à des élections. Il ne suffit pas d'organiser des élections pour développer un pays. Il faut encore plutôt travailler et faire travailler. Ceci est vérifier par le Burkina Faso, La chine et la Russie. Les Africains perdent du temps dans le choix du chef alors qu’ils pourraient en gagner en suivant ce qu’ils ont déjà. La chose la plus importante est qu’il connaisse la voie qui mènerait le peuple à bon port. Et apparemment, Tandja Mamadou à une idée de cette voie mieux que nos opportunistes de politiciens..

A l’actif de leur bilan, ils te diront avoir été à l’origine de l’avènement de la démocratie au Niger…la réalité, ils n’ont fait que rendre indisciplinés et paresseux les nigériens. Ils ont enseigné le trafic d’influence, la corruption, le passe droit, l’impunité et plein d’autres maux au peuple Nigérien. Parmi lesquels le tribalisme, le régionalisme et l’ethnocentrisme. Et jusqu’à très dernièrement avec la chute de Hama, ils s’évertuaient à maintenir les Nigériens dans la pauvreté, l’ignorance et la maladie. Alors qu’eux même se prélassaient dans une opulence la plus insolente en animant la vie politique de débats fétides et infertiles, de diatribes institutionnelles inutiles.

Le premier principe de la démocratie, la règle cardinale c’est d’abord assurer la sécurité, le mangé et l’instruction du peuple. Ce en quoi ces Messieurs n’ont fait aucun effort.

Pour éviter de faire longs, il ya beaucoup à dire sur ces messieurs et sur les instances de la CEDEAO dont le Niger est d’ailleurs toujours le seul à respecter les règles. A mon humble avis, une étape doit être franchie dans la résolution de cette crise politique. Un signal fort qui ferait comprendre notre état d’esprit, notre engagement, notre fermeté doit être donné.

Les partis politiques dont les leaders sont à l’origine des cabales contre le Niger doivent être dénués de toute légalité. Que par Décret, le Président de la République SEM Tandja Mamadou, Premier magistrat, promulgue une charte des partis politiques qui prendrait en compte un certain nombre d’agissements susceptibles de dissoudre tout parti politique dont les leaders seraient responsables de ces actes.

Ainsi en dissolvant le PNDS, Moden et le CDS, partis dont nombre de leurs militants siègeront à l’Assemblée Nationale car ils ont fait défection et participer aux élections, les leaders de ces structures politiques désuètes n’auront aucune légalité. Ce qui faiblira encore plus leur base populaire et les déniera de toute représentativité pour toutes négociations. On en aura ainsi finis avec ces messieurs.

Cela servira d’école aux partis politiques nigériens et contribuera à construire une nouvelle classe politique plus patriote.


Pour le progrès.

Ibrahim Chaibou D. I

jeudi 1 octobre 2009

Gare au jeunisme


Le jeunisme est un néologisme généralement péjoratif qui décrit la volonté supposée de donner une place plus importante aux jeunes, ou aux notions liées à ces derniers.

Une nation doit avancer vers son histoire. Hors, toute situation aussi lamentable soit elle profite toujours à un groupe de personne qui fera tous ce qu’il peut pour maintenir le statu quo. Que ce soit les esclavagistes par rapport à la traite des noirs, Les Nazis par rapport au pogrom des juifs, le Ku Klux Klan rapport à la ségrégation raciale aux Etats Unis ou à l’apartheid en Afrique du Sud. La parabole est peut être un peu forte mais la loi est mise en évidence.

La situation de vécu des 11 millions de Nigériens était profitable à un groupe de personne. Mais, comme Il est important que nous avancions. La 6ième République a avancé piétinant une centaine de politiciens véreux au passage. Mais si la forme est bonne quand est-il du fonds ? A savoir quelles seront les institutions de cette nouvelle République ? Ou plutôt quelle sera l’efficacité des institutions de cette 6ième République ? Et dans ce cas précis, à propos de l’organe qui fera l’objet des prochaines élections. Quelle sera l’efficacité de notre future Assemblée Nationale ?

Permettez-moi de jouer les troubles fêtes en rappelant, en cette période d’euphorie généralisée, les risques qui pèsent sur notre future Assemblée Nationale.

Le leitmotiv qui a emballé tout le monde, c’est le thème rabâché à chaque interview à savoir la jeunesse et la femme. Ce qui est politiquement correcte, et a eu le mérite d’enthousiasmer une grande frange de la population qui adhère naturellement au projet du chef de l’Etat.

Sachant que les surfacturations, les arrangements politiques, le trafique d’influence, les fausses livraisons, le détournement avéré des deniers publics sont quelques unes des raisons ou des justificatifs de la 6ième République ; Il est important de se poser la question de savoir ce vers quoi nous nous dirigeons afin d’éviter que les mêmes causes ne produisent les mêmes effets.

Pleins de jeunes veulent être députés. C’est une bonne chose que de vouloir rajeunir la classe politique. Nous l’avons souligné sur notre blog. Mieux, nous sommes aller plus loin en voyant dans le projet de la 6ième République une opportunité pour les jeunes( Et si le tazartché était une opportunité pour le MPN Matassa). Et nous avons eu le mérite et c’est une fierté pour nous d’avoir évoqué sur ce blog la refondation de la République, à une époque où personne n’y pensait.

Mais qui sont nos jeunes ? Quel sont leurs rêves ? Qu’est ce qui est leur première motivation ? Quelles sont leurs ambitions ? Quel est leur état d’esprit ?

Beaucoup croient en la politique comme seule issue de réussite. Convaincu que pour avoir une grosse voiture, une grosse femme et une grosse villa, il faut nécessairement faire de la politique. C’est facile, tu passes à la télé pour dire ce qu’attendent les gens, faire de la représentation avec son gros titre de député, de l’import export avec son laisser passer, être intouchable avec son immunité diplomatique, s’arroger de grosse indemnité de chaleur, pour se venger de la vie …
Car, il ne sert à rien de vouloir être un travailleur honnête méritant. Car ces trois valeurs n’ont plus de grande force dans le système. Non, maintenant si tu ne fais pas de la politique, tu n’auras rien. Telle sont les convictions les plus partagées par les jeunes.

Qu’est ce qui est attendu de nos futurs jeunes députés ? De contribuer à améliorer l’ordre et l’organisation de la cité. Améliorer le cadre de vie des nigériens. Apporter des solutions aux problèmes réels quotidiennement vécus par les nigériens, au travers des lois qu’ils auront à voter. Chose dans laquelle les ex députés n’ont pas du tout brillé. Mais eux, nos futurs jeunes députés en ont-ils la connaissance nécessaire, sont ils suffisamment imprégnés de ces difficultés, ont-ils réfléchi dessus, les ont-ils étudiées? Ont-ils une idée précise, un programme de reformes ou des projets de loi étudiés, qu’ils veulent aller faire voter à l’Assemblée Nationale pour améliorer notre cadre de vie ? Je l’espère. Ou bien ils y vont parce qu’il faut remplir les sièges vides car la nature à horreur du vide, devenir député pour être député, ….

Ceci est le topo de la plupart de nos futurs jeunes députés. Quand on est convaincu qu’on ne peut gagner de l’argent qu’en faisant de la politique, on est condamné à être un mauvais politicien. Prendre certaines mesures essentielles pour éviter une génération d’hommes politiques qui n’ont aucun sens de l’Etat n’est pas une vaine réflexion. Actuellement, on a l’occasion de voir les jeunes dirigeants Africains à l’œuvre. Notamment Andry Rajoelina à Madagascar et Moussa Dadis Camara en Guinée. Chose regrettable, malgré les manquements et limites de leurs prédécesseurs qu’ils ont décriée et continuent de décrier, ces jeunes dirigeants sont les plus mauvais que ces deux pays n’ont jamais connus. Pour diriger les institutions d’un Etat, il faut des hommes d’Etat. Peu importe qu’ils soient jeunes ou vieux, mais qu’ils aient le sens de l’Etat. Gare au jeunisme…

Humblement votre,

vendredi 7 août 2009

Référendum OYé


Le référendum c'est bien passée. Alhamdoulillahi. Aucun nigériens n'a été inquiété. L'affluence vers les bureaux de vote était réelle. La grande majorité des nigériens a effectivement voté. Il y a une petite hésitation dans le début de la matinée; Mais une fois que les gens se sont rendus compte que tout aller bien, ils sont sortis massivement pour accomplir leur devoir.

Cependant, des échos d'une distribution de billet invitant à aller voter dans certains quartiers défavorisés ont été entendus. Et fait surprenant, avant même la proclamation des résultats, hier le 05 Aout dans la ville de Niamey, des panneaux au travers desquels le PR remerciait les nigériens pour lui avoir rénouveller leur confiance, étaient visibles sur les grandes artères. Insultant l'intélligence des nigériens.

Ce que doit comprendre les observateurs internationaux et les nigériens de la diaspora, ce que le soutient a Tandja, est avant tout une gifle à notre classe politique. Mahamdou Issoufou, Mahamane Ousmane, Hama Amadou... pas un seul ne peut se targuer d'avoir fait creuser un seul puit, une seule classe...Mais Rien du tout.Nada.Ils se sont enrichis depuis la conférence Nationale jusqu'à la dissolution de l'Assemblée Nationale. Ils nous ont fait perdre notre temps par des infertiles débats sur des principes démocratiques (qu'ils ne savent que relater mais jamais appliqués) pendant que les nigériens souffraient d'ignorance, de maladie et de soif et d'obscurité. La démocratie ne se mange pas. Et les nigériens ne sont pas dupes. Le maintien de Tandja est juste un arbitrage entre le mauvais et le pire.

Et puis de toute façon, les nigériens n'ont rien fait qui n'aient été déjà fait....Blaise Compaoré pour les journalistes burkinabés de l'observateur Paalga qui auraient la langue trop occidentalisée. 22 ans de pouvoir s'il vous plait. Et puis... Ben Ali en Tunisie, Bouteflika en Algérie, le Duo Wade et son junior au Sénégal, Le Guide de la Jamaryha Libyenne, Idriss DEBY ITNO au Tchad, Denis Sassou Guésso au Congo, Paul Biya au Cameroun,PFUUI!!!...C'est à perdre le souffle. Pardon laisser tomber votre papato...


Et en Conclusion, sachez que les dirigeants de ces différents pays entretiennent officiellement encore et toujours des relations diplomatiques, militaires, économiques avec les plus grandes démocraties de ce Monde. Il convient de se faire alors une idée claire de ce que c'est que la démocratie...du politiquement correcte, des mots, une bienséance, rien de plus....

Humblement votre,