vendredi 10 octobre 2014

EBOLA : UN INSTRUMENT DE DESTRUCTION MASSIVE DES AFRICAINS ?

28 septembre 2014

Afin de permettre une meilleure compréhension du phénomène et d’apporter des éclaircissements sur le débat concernant l’origine du virus Ebola et sa paternité supposée africaine, Afrocentricity Think Tank s’est attelé à lever quelques ambiguïtés et rappeler que de part et d’autre, les causes avancées sans la participation d’experts africains indépendants restent de simples hypothèses dont la crédibilité commence à échapper à l’analyse scientifique par les experts africains de la Diaspora. Des informations circulent ici et là.

Il est important que les Africains et Africaines directement concernés puissent avoir un point de vue afrocentrique en attendant que les dirigeants africains financent l’étude sur l’origine du virus Ebola demandée par une équipe d’experts de la Diaspora.

Il faut pourtant clarifier le débat. Les Africains ne peuvent être responsables de ce qu’ils n’ont pas créé et diffusé.

1. Le virus Ebola n’a pas été « créé », ni « nommé » par les Africains

C’est le nom d’un fleuve de la République Démocratique du Congo que les Occidentaux ont choisi unilatéralement pour donner à un virus créé dans leurs laboratoires lesquels poursuivent des objectifs militaires et de créations de maladies émergentes avec des solutions pour le moins mitigées.
A la différence des agents biologiques pathogènes classés par ordre de dangerosité comme la rougeole, la poliomyélite, la varicelle, la rage et la variole, le virus Ebola comme au demeurant et par ordre de dangerosité, l’hépatite C, le HIV-Sida, l’Antrax (qui est une bactérie) sont des agents pathogènes créés dans des laboratoires non Africains 1. Les motivations à l’origine de la création de ces agents pathogènes ne sont pas nécessairement pacifiques.

Le virus Ebola est un filoviridae dont l’origine remonte au mois d’août 1967, dans la ville de Marburg en République Fédérale d’Allemagne. L’apparition originelle et inaugurale s’est faite dans un des laboratoires de la ville travaillant indifféremment pour des objectifs civils et militaires. Officiellement, lors des travaux de recherche pour fabriquer des vaccins, au moins 35 laborantins ont été contaminés dont 7 ont trouvé la mort malgré les soins intensifs prodigués. L’origine du virus Ebola n’est pas en Afrique.

2. Le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel en Afrique

Les analyses et recherches de médecins africains commencent à mettre en évidence le fait que le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel. Il est donc évident que sans réservoir naturel, l’hypothèse selon laquelle l’origine d’une des six souches proviendrait de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) demeure une simple hypothèse qui reste à vérifier. L’hypothèse de l’inoculation, voire de la transplantation par tous les moyens possibles et inimaginables en Afrique ne peut être écartée. Une étude portant sur l’origine de certains agents pathogènes (virus et bactéries) par des experts indépendants africains y compris la Diaspora permettrait d’en avoir le cœur net.

3. Les animaux africains ne sont pas à l’origine du virus Ebola

Les gorilles, les chimpanzés et les antilopes ne sont pas des vecteurs du virus contrairement aux affirmations sans preuves avancées jusque-là car ces animaux n’ont pas de réservoir du virus Ebola.
La chauve-souris n’est pas un hôte naturel du virus car jamais le virus n’a été isolé sur elle. Mieux encore, lorsqu’on lui inocule expérimentalement en laboratoire le virus, cet animal l’élimine rapidement sans le conserver dans son organisme.

De même, les arthropodes ne sont pas des vecteurs car lorsqu’on inocule le virus Ebola à ces derniers, aucune réplication virale n’est observée.

Puisque l’on sait aujourd’hui le point de vue des Africains et que le virus n’a jamais été isolé chez ces animaux malgré toutes les recherches menées dans ce sens, il faut donc bien convenir qu’il faudra aller rechercher le réservoir du virus ailleurs que dans la faune africaine, ailleurs qu’au sein des populations africaines rurales ou urbaines.

4. Les laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers sont à l’origine du virus Ebola

Avec la liste des laboratoires militaires connus et tous ceux civils non connus (voir annexe 1), il n’est plus possible de nier l’évidence, à savoir qu’un grand stock de virus divers dont l’Ebola sont disponibles dans les laboratoires biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé). La France est présente en Afrique au Gabon, à Franceville (pour ce qui échappe au « secret défense »).
Comment croire que ces stocks sont destinés à l’amélioration de la santé publique en Occident ? Comment ne pas se poser la question de savoir comment s’opèrent les tests ? Une fois les animaux infectés, est-ce que ces derniers n’ont pas été transportés dans des zones rurales et urbaines africaines pour faciliter la confirmation de certaines hypothèses sur les animaux ? Puis, quelles sont les limites éthiques de telles expérimentations secrètes, parfois avec l’aval des autorités africaines, alors que les tests sur des humains africains dits « volontaires » ont commencé à se vulgariser notamment au Libéria et en Sierra Leone.

Rien ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle les virus créés dans des laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers en Afrique ne sont pas justement créés pour soutenir des activités civiles de santé publique. L’hypothèse de virus créé pour des opérations militaires futures ne peut être écartée de l’analyse et donc de l’étude à venir. Il s’agirait alors purement et simplement d’armes virologiques de destruction massive. Les signes avant-coureurs ont été révélés dans le livre de Leonard G. Horowitz 2 dès 1996 où ce dernier s’interrogeait sur la nature des virus émergents comme le VIH-Sida et l’Ebola. Il avait déjà écarté l’origine naturelle de ces deux virus et ne croyait pas à l’accident, ni au dysfonctionnement des laboratoires occidentaux. Les objectifs dits « intentionnels » sont légions dans les exemples nombreux qu’il partage avec le public.
De toutes les manières, Leonard G. Horowitz n’a jamais cité l’Afrique comme un centre de production en série de virus Ebola pour une destruction massive et sélective des humains.

5. Le Gouvernement de Sierra Leone a reconnu que des essais d’armes biologiques américaines se pratiquaient sur son sol à Kenema.

C’est officiellement sur la page « Facebook 3» du Ministère de la santé et de l’Assainissement du Gouvernement de Sierra Leone que ce pays a reconnu indirectement qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques américaines sur son sol notamment à Kenema. En effet, il fut décidé d’arrêter les essais d’armes biologiques notamment du virus Ebola dans le laboratoire américain de Kenama et dans l’Université de Tulane.

Le laboratoire américain de recherches d’armes biologiques basé en Sierra Leone à Kenema est le seul centre de dépistage de la fièvre hémorragique liée au virus Ebola dans ce pays et détenait en juillet 2014 le plus grand nombre de victimes. Il faut aussi savoir que l’Université de Tulane menait des recherches d’armes biologiques au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

La décision du Gouvernement de Sierra Leone de fermer les centres d’essais d’armes biologiques n’a pas été spontanée. Cette décision est intervenue suite à des dysfonctionnements graves et un mouvement de protestation des infirmières de l’Hôpital de Kenema qui ont choisi la grève illimitée pour se faire entendre suite à la mort de trois de leurs collègues 4 suspectées d’avoir été contaminées par le virus Ebola. Les 20 dollars des Etats-Unis de prime de risques qui leur avaient été promis n’ont jamais été payés.

6. Il ne faudrait pas favoriser une discrimination dans l’administration du vaccin expérimental entre les « Noirs » et les « Blancs » ?

Faut-il craindre une gestion raciste de l’administration du vaccin expérimental contre le virus Ebola ? La question n’a pas véritablement été évoquée jusqu’au jour où des informations attribuant au personnel du Centre de contrôle des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) basé à Atlanta aux Etats-Unis que le vaccin expérimental pour le virus Ebola ne fonctionnera que sur ceux à la peau blanche. Au-delà de la provocation, il faut néanmoins prendre au sérieux cette possibilité. Cet organisme gouvernemental américain aurait déclaré ceci le 19 septembre 2014 : «Les premiers tests d’un médicament expérimental, qui aurait pour effet de lutter contre la propagation du virus Ebola, n’ont fait leurs preuves que sur ceux qui ont la peau blanche. Nous travaillons avec diligence pour améliorer l’échantillon afin de pouvoir aider tous ceux qui sont dans le besoin 5 ».

Il faut espérer que le Gouvernement américain ne cacherait pas au monde le fait que le vaccin expérimental, qui n’a pas encore subi tous les tests d’usage, soit déjà opérationnel. De même, il ne faudrait pas que des stratégies ne soient mises en place pour n’administrer que très tardivement aux Africains et aux noirs victimes d’expérimentation hasardeuses des laboratoires occidentaux, ce vaccin s’il s’avère réellement efficace. Au demeurant, il ne faut pas écarter du débat le fait que certains « fournisseurs » du futur vaccin hypothétique contre le virus Ebola cherchent à préparer l’opinion occidentale qu’il ne sert à rien de distribuer le vaccin aux Africains noirs en jouant sur des retards dits « diplomatiques »…. cette discrimination potentielle doit faire partie de l’étude que les autorités africaines doivent entreprendre de manière indépendante.

7. La lutte contre le virus Ebola passe par l’apport de l’expertise de la Diaspora africaine

Avec la défaillance des autorités africaines tant dans l’information sur leurs accords secrets avec des Etats producteurs ou testeurs en série d’agents biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé) sur le sol africain, la responsabilité du désastre actuel tant médical que socio-économique est aussi africaine.
Seule une étude approfondie effectuée par des experts indépendants d’Afrique et d’ailleurs pourra permettre de faire taire certaines affirmations selon lesquelles Le virus Ebola:

7.1 a aussi été transmis par inoculation. Cela suppose que le vaccin dont il est question pourrait ne pas résoudre le problème mais l’aggraver ;

7.2 ne contamine pas systématiquement. Certains sujets africains noirs sont sortis « indemnes » du processus de contamination. C’est le cas d’un jeune Guinéen, guéri au Sénégal, qui s’est résolument engagé à promouvoir la prévention auprès de ses compatriotes 6. Ces malades guéries sont l’objet d’une appétence nouvelle des mêmes laboratoires non-africains responsables de la création du virus Ebola. En effet, le sang des malades guéries est vendu à prix d’or et sert à de multiples analyses pour comprendre la capacité de résistance et de résilience de certains Africains noirs. Des cas de résilience similaires ont été identifiés au Kenya au sein d’une population à risque.

Aussi, la Diaspora africaine éclairée a choisi d’identifier des équipements, des services, et des techniques et savoir-faire disponibles si possible dans des pays n’ayant pas d’antécédents coloniaux ou des velléités d’impérialisme militaro-sanitaires sur l’Afrique. Il est donc recommandé aux dirigeants africains de se rapprocher de leurs Diaspora respectives afin d’identifier les ressources humaines et techniques permettant de contenir cette épidémie tout en fournissant des équipements de protection, de décontamination, de diagnostic et de traitement.

Le financement africain est le seul moyen pour les dirigeants africains de lever l’ambiguïté sur leur responsabilité dans ce dossier, en permettant la réalisation de l’étude approfondie sur l’origine du virus Ebola, avec une ouverture sur les maladies émergentes et les effets collatéraux pour les populations africaines.

Dr Guy Kodzo Alovor et Dr Yves Ekoué AMAÏZO
Contact: info@afrocentricity.info
© Afrocentricity Think Tank, septembre 2014.


8. Annexe 1 :

LISTE DE QUELQUES LABORATOIRES SUSCEPTIBLES DE PRODUIRE
DES AGENTS PATHOGENES DE TYPE P4
Pays
Localisation
Institution
Afrique du Sud
Johannesburg
National Institute for Communicable Diseases
Allemagne
Berlin
Institut Robert Koch
Allemagne
Hambourg
Bernhard Nocht Institute for Tropical Medicine
Allemagne
Greifswald
Institut Friedrich Loeffler
Allemagne
Marbourg
Université de Marbourg, Institut de Virologie
Philipps Universität Marburg
Australie
Geelong
Australian Animal Health Laboratory
Australie
Brisbane
Queensland Health Forensic and Scientific Services
Australie
Melbourne
Victoria Infectious Diseases Reference Laboratory (VIDRL)
Australie
Sydney
Centre for Infectious Diseases and Microbiology Laboratory Service (CIDMLS) et The Institute for Clinical Pathology and Medical Research (ICPMR)
Canada
Winnipeg
Laboratory Centre for Disease Control,
National Microbiology Laboratory
États-Unis
Atlanta
Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC)
États-Unis
Atlanta
Center for Biotechnology and Drug Design, Georgia State University
États-Unis
Fort Detrick
U.S. Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID (en))
États-Unis
Galveston
Center for Biodefense and Emerging Infectious Diseases,
University of Texas Medical Branch
États-Unis
Hamilton
NIAID Rocky Mountain Laboratories
États-Unis
San Antonio
Southwest Foundation for Biomedical Research
France
Gerland, Lyon
P4 Jean Mérieux, INSERM
France
Vert-le-Petit, Essonne
Laboratoire de la DGA
France
Lyon
Laboratoire P4 Jean Merieux, Inserm
Gabon
Franceville
Centre International de Recherches Médicales de Franceville (CIRMF)
Italie
Rome
Lazzaro Spallanzani Hospital, National Institute of Infectious Diseases
Royaume Uni
Porton Down
Centre for Emergency Preparedness and Response
Royaume-Uni
Londres
Centre for Infections, Health Protection Agency
Royaume-Uni
Salisbury
Centre for Emergency Preparedness and Response, Health Protection Agency
Russie
Koltsovo
Centre de recherches d’état de virologie et de biotechnologie VECTEUR
Russie
Kirov
Institute of Microbiology, Russian Ministry of Defense
Russie
Sergiyev Posad, Moscou
Virological Center of the Institute of Microbiology,
Russian Ministry of Defense
Suède
Solna, Stockholm
Swedish Institute for Communicable Disease Control
Suisse
Genève
Hôpitaux universitaires de Genève 4
Suisse
Spiez
Laboratoire de Spiez de l’Office fédéral de la protection de la population
Taïwan
Kwen-yang Laboratory (昆陽實驗室) Center of Disease Control
Taïwan
Preventive Medical Institute of ROC Ministry of National Defense
QUELQUES CENTRES TRAVAILLANT SUR LES VIRUS DE TYPE P4
France
Marseille
Université de la Méditerranée, Unité des Virus émergents, Faculté de Médecine
Italie
Rome
National Institute for Infectious Diseases (IRCCS)
Suède
Solna
Swedish Institute for Infectious Disease Control


Notes:
Une patiente revenant de Sierra Leone a été admise pour une fièvre hémorragique en Suisse déjà en 2011 : voir la présentation d’un laboratoire de haute sécurité P4 D, à l’Hôpital Universitaire de Genève (HUG), Suisse : Un laboratoire de haute sécurité a été aménagé au sein du laboratoire central de virologie des HUG. Il est classé P4 D, pour pathogène de classe 4 et D pour diagnostic. Le P4D est le premier laboratoire suisse capable de diagnostiquer des virus hautement pathogènes, classés en niveau 4 de sécurité. Outil de référence pour l’ensemble de la Suisse, cet équipement sera utilisé uniquement à des fins diagnostiques ; il ne se prêtera à aucune culture ou stockage de virus dangereux ; https://www.youtube.com/watch?v=ML-mKh8sPzo. IL faut s’interroger si les mesures de précaution proposées peuvent s’appliquer à grande échelle en Afrique. Voir aussi le Laboratoire P4 Jean Mérieux de Lyon, voir https://www.youtube.com/watch?v=LnQc3egTqS4 ainsi que le laboratoire P4 de la Direction générale de l’armement française (DGA) dans l’Essonne inauguré par le Ministre de la Défense de France, Jean-Yves Le Drian. Un second laboratoire distinct du Service de santé des armées (SSA) est dédié à la mise au point de vaccins et antiviraux et assurent ainsi la sécurité anti-guerre biologique que résume le Libre Blanc sur la Défense et le sécurité nationale qui traitent entre autres des virus vivants de classe 4 à savoir Ebola, fièvre de Lassa et même des « virus contre lesquels il n’existe encore aucun traitement connu » de la bouche même du Ministre de la Défense. Ce dernier confirme ainsi indirectement la capacité de ces laboratoires à créer des monstres hautement pathogènes que certains laboratoires militaires n’hésitent pas à tester sur les populations africaines, voir http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/jean-yves-le-drian-inaugure-le-laboratoire-p4-de-la-dga?nav=web et la liste incomplète des laboratoires sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Laboratoire_P4#cite_note-McSwwegan1999-1. Flèche coudée à gauche
Horowitz, L. G. (1996). Emerging Viruses: AIDS And Ebola : Nature, Accident or Intentional? Avec une préface de Martin, W. J. Edition Félix : Saint-Léonard, Québec, Canada. Flèche coudée à gauche
Gouvernement de Sierra Leone sur Facebook (2014). ”Sierra Leone Closes Us Bioweapons Lab At Centre Of Ebola Outbreak, Stops Tulane University From Ebola Testing”. Voir http://birdflu666.wordpress.com/2014/07/24/sierra-leone-orders-us-bioweapons-lab-at-centre-of-ebola-outbreak-to-be-relocated-tulane-university-to-stop-ebola-testing/ et http://www.facebook.com/pages/Ministry-de-santé-et-assainissement-Sierra-Leone/281064805403702 Flèche coudée à gauche
Umaru, F. (2014). “Sierra Leone religious leaders criticize government handling of Ebola”. In Reuters.com. Freetown. 21 juillet 2014. Impossible d’accès le 27 septembre 2014 au lien suivant : http://www.reuters.com/article/2014/07/21/us-health-ebola-africa-idUSKBN0FQ0XO20140721 (cette version du texte de Reuters a disparu sur son site) ; La version nouvelle serait celle-ci http://www.reuters.com/article/2014/07/21/us-health-ebola-africa-idUSKBN0FQ0XO20140721 Flèche coudée à gauche
The News Nerd Staff (2014). “CDC Says Ebola Vaccine Only Works on White People”. In The Newsnerd.com. 19 septembre 2014. Accédé le 27 septembre 2014, voir http://www.thenewsnerd.com/technology/cdc-says-ebola-vaccine-works-white-people/ Flèche coudée à gauche
Kendessa Diallo, A. (2014). « Guéri de L’Ebola au Sénégal, le jeune Guinéen parle ! ». In CapitalAfrique.com. Samedi 27 Septembre 2014. Accédé le 28 septembre 2014, voir http://www.capitalafrique.com/article/societe/gueri-de-l-ebola-au-senegal-le-jeune-guineen-parle_22826_1411809907.html Flèche coudée à gauche
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Questions sur l’origine du virus Ebola dans Le Grand Débat de Africa n°1

EBOLA : UN INSTRUMENT DE DESTRUCTION MASSIVE DES AFRICAINS ?
PETITION A L’UNION AFRICAINE POUR UNE COMMISSION D’ENQUETE INTERNATIONALE DU CONSEIL DE SECURITE DE L’ONU ET DE L’UNION AFRICAINE SUR L’ORIGINE DU SIDA ET DE L’EBOLA
Ebola, AIDS Manufactured By Western Pharmaceuticals, US DoD?

mercredi 27 août 2014

GESTION DE CRISE EPIDEMIQUE : VIRUS EBOLA EN AFRIQUE. Cas du Niger.



« que fait- on quand un membre de la famille est atteint de tuberculose ?
Réponse 1 : on le laisse manger a table dans les mêmes assiettes, boire avec les mêmes verres…au risque de contaminer toute la famille ?
Réponse 2 : on décide de le mettre en quarantaine avec des ustensiles réservés afin de protéger le reste de la famille ? »

Il est très peu pragmatique voire inconscient et illusoire de penser que le panafricanisme voudrait qu’on laisse ouvert les frontières des Etats Africains par solidarité, ainsi que certains soi disant panafricains, dans leur béatitude, abordent la question du virus d’Ebola.
C’est une énorme bourde que de le penser, une grotesque erreur qui pourrait être funeste pour le continent.

Des sources non officielles font état en Cote d’Ivoire d’une centaine de cas de personne infectées du virus Ebola mais non révélés. Une vingtaine de mort.

Selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), publié mercredi 20 août, le nombre de victimes du virus Ebola, qui sévit ces derniers mois en Afrique de l'Ouest, se rapproche des 1 500 morts, avec exactement 1 350 décès sur 2 473 cas dénombrés. Soit la plus grave épidémie d'Ebola depuis la découverte du virus en 1976.

En dépit des mesures prises par les autorités locales et internationales, rien ne semble endiguer la propagation du virus. Toujours selon l'OMS, le Liberia est désormais le pays le plus touché, avec 972 cas dont 576 décès. En Sierra Leone, l'OMS dénombre 907 cas, dont 374 décès. En Guinée, 579 cas ont été recensés, dont 396 décès. L'épidémie reste en revanche contenu au Nigeria, où l'on compte 15 cas, dont 4 décès. Elle a fait son apparition suite au décès d’un libérien au Nigeria.

Le Nigéria, qui n’a aucune frontière avec les trois autres pays touchés (Liberia, Sierra Leone, Guinée) est  donc désormais atteint. 

Le Liberia a fermé ses frontières pour tenter d’enrayer la progression du virus.
Le Sénégal aussi à fermé ses frontières.

Il faut savoir que les agents de la compagnie Air France souhaitent que tous les vols à destination de l’Afrique soient suspendus. La question que nous devons nous poser, est pourquoi ? Ont-ils une information que nous n’avons pas ? Est-ce toute l’Afrique qui doit être à éviter, comme le souhaitent les agents de Air France ? Allons nous vers un scenario ou toute l’Afrique va ou doit être infectée pour que les agents de Air France soient aussi intransigeants ?

La compagnie Air Ivoir a suspendu ses dessertes sur le Liberia, la sierra Leone et la guinée.
Compte tenu de ses frontières avec le Nigeria, quelles mesures devrait prendre le Niger,  en particulier, et tous les autres pays en général, pour mettre un frein à la progression du Virus Ebola en Afrique ? 

Les mesures prises par le Niger sont elles suffisantes pour prévenir cette infection ? En quoi consistent-elles ?

Les mesures prises par l’Etat du Niger se résument en :
·         le renforcement de la surveillance épidémiologique aux points d’entrée (aéroports, postes frontaliers terrestres), celui des capacités des services de santé et des secteurs impliqués, Comment ?avec quel moyen ?
·         l’intensification de la communication pour un changement de comportement.  Quand cette communication va-t-elle commencer ? il faut un cas d’infection ou plusieurs pour qu’elle débute cette communication ?
·         la revitalisation des comités  de gestion des épidémies à tous les niveaux, ce qui veut dire quoi exactement ?  comment?
·         le renforcement du contrôle sanitaire de l’importation des animaux sauvages en provenance des zones affectées, comment, où et par qui ?
·         l’élaboration d’un plan de contingence contre la maladie prenant en compte la sensibilisation des populations et la formation du personnel de santé quand va-t-il commencé ce plan de sensibilisation ? il faut combien de mort ?
·         l’équipement des centres d’isolement y compris les intrants médicaux, quand ?
·          l’équipement des postes d’entrées en matériel Laser de détection thermique quand ?
·         Parmi les mesures prises par les ministres de la Santé au niveau continental et sous-régional, il faut signaler celles consistant à ne pas fermer les frontières mais plutôt à faire passer les passagers au contrôle strict tant au niveau des aéroports qu’au niveau  des frontières. Le ou les cas suspects seraient pris en charge par une autre équipe et transférés immédiatement dans un local d’isolement.  

La mise en place de service de contrôle renforcé à l’entrée ou à l’arrivée de l’Aéroport de Niamey grâce à un scanner thermique qui est sensé détecter les températures corporelles anormalement hautes. Dans leur logique, une fois détectées les personnes à fortes températures seront soumises à un dépistage rigoureux pour s’assurer qu’elles sont ou pas infectées par le virus d’Ebola. Soit. Mais le scanner est il là ? Quand sera-t-il là? 

Considérons que le scanner thermique est là. Ce scanner n’est efficace qu’à un stade précis de l’évolution de la maladie pour détecter de la fièvre. Une personne peut bien être infectée, porteuse du virus et qu’au moment de son passage à l’aéroport la fièvre permet de lui mettre la main dessus. Ok bravo. Mais cette personne était dans un avion avec des gens. Rien ne dit que par la toux, la sueur, des secrétions, les toilettes, etc, qu’elle n’a pas contaminé les autres passagers qui sont en même temps qu’elle dans l’avion. Rien ne le garanti. Ces autres passagers seront porteurs du virus. Auront-ils tous de la fièvre à la descente d’avion ?  Ce n’est pas sur, pas du tout évident. Il y a là un risque de se retrouver avec plusieurs centaines de personne infectée dans le pays, à chaque atterrissage à l’aéroport de Niamey d’un avion provenant d’un pays contaminé.

A mon humble avis, sans être un spécialiste de la santé, ces mesures prises par le Niger sont irréalistes, totalement en dessous du seuil de prévention que requiert la létalité d’un tel virus. Celui d’Ebola. 

A BIEN VOIR, AUJOURD’HUI, A LA SECONDE OU VOUS LISEZ CETTE PHRASE, IL N’Y A, CONCRETEMENT, AUCUNE MESURE FERME ET PRATIQUE PRISE POUR PREVENIR LA PROPAGATION DU VIRUS D’EBOLA AU NIGER.
Hors, il faut savoir que dans 60% des cas, la personne infectée meurt. C'est-à-dire que sur 100 personnes atteintes, 60 meurt de façon certaine.
Les mesures que je préconise, motivé plus par ma fibre patriotique que par des connaissances épidémiologiques, sont :

1-     La fermeture immédiate des frontières du Niger et celle des autres pays africains : comme l’a fait le Libéria infecté mais qui souhaite endiguer la propagation du virus. Ou le Sénégal, non encore infecté mais qui n’attend pas son premier cas, pour le faire. 

2-     Les vols en provenance de la Guinée, du Sierra Leone, du Libéria doivent être suspendus, interdit d’atterrissage. Ou Les vols en provenance des pays ayant des vols en provenance de ces pays infectés doivent être suspendus. Les trajets des vols et autres escales pouvant prendre des voyageurs venant d’un pays infecté doivent être suspendus. Les vols à ces destinations doivent être interdits. 

3-     Il faut que chaque pays africain s’isole, notamment les pays touchés. Comme d’ailleurs, le Liberia l’a fait. Que les régions touchées s’isolent, que les villes touchées s’isolent, que dans les villes touchées, les quartiers ou les centres de santé ayant des cas d’infections soient isolés. Que dans ces centres de santé, qu’il y ait des lieux d’isolation et de quarantaine pour mieux prendre en charge les malades et pour pouvoir bien localiser et contenir au plus près les contagions. Les échanges entre les pays africains pourraient se faire avec sérénité, si chacun des pays africains pouvait isoler avec efficacité les régions touchées, les villes touchées, les quartiers et les centres de santé contaminés.

4-     Les lignes des compagnies de transport (Rimbo, Azawad, etc…) allant vers les pays infectés Ou vers des pays dans lesquels peuvent exister des voyageurs venant de ces pays infectés, doivent être suspendues. Car Rimbo peut amener de Bamako, des voyageurs venant de Conakry ou de Freetown.

5-     Les gardes frontaliers doivent être équipés de manière à ne pas être contaminé au moment des contrôles douaniers. Le contrôle de cette infection ne doit pas être une tache kamikaze. Ça ne servirait à rien.

6-     Les agents des centres de santé doivent être le plus tôt possible formés à détecter les symptômes de la fièvre Ebola afin de reconnaitre facilement les porteurs de la maladie. Des spots de sensibilisation en langues locales doivent être diffusés sur les médias pour éveiller le sens de l’urgence au niveau national.

7-     Réorganiser nos centres de santé. En effet, les urgences sont constitués d’une seule salle unique qui accueille tous les malades, les accidentés, etc….Ce qui est propice à la contagion. 

8-     Revoir les procédures d’admissions en chambre d’hospitalisation.  En effet, nos centres hospitaliers ont des chambres communes à deux, trois, quatre malades ou même plus.  Ce qui peut favoriser la propagation du virus Ebola en cas de procédure d’admission non rigoureuse.

9-     Faute de moyens et de temps pour organiser toutes ces mesures, le mieux serait de fermer carrément et bonnement les frontières (terrestres et aériennes) du pays.

10- Mettre en place une équipe de pointe en partenariat avec des pays ayant développé une expertise dans la gestion de crise épidémiologique comme la chine, le Japon, la Russie. Pays qui, d’ailleurs, se sont dits prêts à assister les pays africains qui en exprimeraient le besoin.  

11- Mettre en place un système de coordination des centres de santé du pays, pour pouvoir établir une cartographie des infections et favoriser une meilleure réaction d’isolation.


Une des conséquences de cette épidémie est la probable interdiction de pèlerinage pour les musulmans ressortissants des pays infectés par le virus d’Ebola. L’apparition d’un seul cas d’Ebola dans un pays suffirait pour que les Dirigeants Saoudiens, dont je comprends le sens  de la responsabilité qui est la leur, considèront inéligibles des pèlerins de ce pays. Mais le pèlerinage est vraiment négligeable face à la nécessité de maintenir en vie nos populations africaines.

Aussi, il faut avoir le courage politique d’accepter perdre de l’argent pour ne pas perdre des vies, les ressources humaines du Niger, déjà insuffisantes qualitativement et quantitativement parlant. 




Si nos dirigeants rechignent à prendre les dispositions à la hauteur de cette épidémie dévastatrice, devons nous penser que notre pays, récemment stigmatisé de dernier au monde, et très souvent vilipendé pour sa bénédiction divine de forte natalité, malgré sa densité qui est une des plus faibles au monde (12,4 habitants/km². Source : wikipedia/INS),  va faire l’objet d’une dépopulation pour le plaisir du malthusianisme satanique aux aspects humanistes ?
Si ce n’est pas le cas, et j’espère que ce n’est pas le cas, une vraie crise épidémique jamais inégalée est à venir, c’est une question de jours. Cessons notre béatitude institutionnelle et anticipons en prenant des mesures drastiques comme le préconise l’OMS.  


Pour la sauvegarde de l’Homme Noir,
Ibrahim Chaibou D.I
www.patriote-niger.blogspot.com

lundi 28 avril 2014

Domination, colonisation, aliénation télévisée!



Caprica ou Capriocca, une serie futuriste où l'individu polythéiste Pratiquant est la règle et l'individu Monothéiste, traqué et banni, est appelé terroriste.# Liquidation de la religion de Dieu# le monothéisme pur.


House Of cards, une serie ou le Vice Président des Etats Unis fume de la drogue pour se soulager, regle sa vie de couple par l'absence de regle. Mensonge, sexe, manipulation et meurtre, tous les moyens sont bons pour exercer le pouvoir par ce couple Presidentiel qui doit symboliser dans notre subconscient le Dirigeant, le modèle, le héros. #Acceptation inconsciente de la dictature# Demain, c'est nous même qui lui trouveront des excuses pour justifier ses insuffisances, sachant tous ce qu'il fait d'"héroïques "pour avoir ce pouvoir.

Son of Anarchy, Scandal, Weeds, Banshee, Vikings, Game of throne, et toutes les autres series que j'ai oubliées....toute pour la vulgarisation de la perversion des moeurs sexuelles et les bestialités humaines (Homosexualité, pédophilie), l'explosion de la famille classique ou la mère couche avec l'ami de son gosse, le polythéisme, la violence animale, la banalisation du sang, les atrocités de tout genre, ......l'apologie de la merde dans toute sa hideuse décadence.

L'occident eduque la jeunesse africaine.Education de masse à la débauche et toutes les tares de l'occident recessif.

Il y a quelques semaines, un jeune à harobanda a violé unejeune fille, l'a tuée, l'a dépecée et jeter dans les latrines avant prendre la fuite. Les odeurs fortes du corps en décomposition ont été à la base de la macabre découverte.

Le Satan a juré qu'il ne sera pas seul dans la fournaise. Ses enfants font bcp de degat en Afrique à travers la fiction qu'ils nous transmettent via les satellites.

Et en plus, il faut payer pour prendre le train infernal. Abonnement pour toutes les bourses: 5000/10000/15000/20000fcfa par mois pour apprendre à suivre le diable. Je suis le 1700000ième abonné. Au plus bas mot, si on considère que je suis le dernier abonné et que tous les abonnés souscrivent au forfait de 5000 fcfa, Canalsat se fait au plus bas mot, 8Milliards 500 millions de Fcfa par mois, rien qu'au Niger. Pour tous le continent d'Afrique, je n'ose même pas imaginer le montant.

La renaissance kemit devra passer par là pour la nécessité de nettoyage culturel et les conséquences économiques de cette bombe de divertissement ou de perversion massive.

Tel est le vrai canal de la vraie aliénation, celle qui a vulgarisé la fellation et les pratiques sodomites, le polythéisme et le matérialisme, la cupidité, l'égoïsme et l'immoralité.

Telle est la vraie aliénation, celle de la perte de l’âme.

Ibrahim Chaibou D.I

lundi 17 février 2014

RESISTANCE PANAFRICAINE



Il ne s'agit pas de blâmer les personnes nominées. Je n'en ai pas le droit. Je ne sais pas ce qu'elles ont vécu. J'essai un raisonnement logique sur l'interprétation que pourraient avoir les faits ci dessous qui ne relèvent sûrement pas du hasard. Car, il nous faut analyser les faits, réfléchir à leur sens et but pour anticiper les actions de notre ennemi.

 En ce temps de MASSACRE de noirs en Afrique, Les nominations de blacks, çà et là, tantôt pour un film, tant pour une œuvre artiste font partie d'une stratégie de l'empire pour donner de l'innocence à son œuvre de recolonisation du continent Africain. J'ai pu retenir les nominés suivants:
-Sembene Ousmane du Sénégal au PANTHEON.

-Dany Laferrière d'Haïti à l'Académie Française.

-Rachel MWANZA du Congo nominée aux Oscars pour le film rebelle.

-Abdi BARKHAD du somalie nominée aux oscars pour un film sur les pirates somaliens.

-Et pleins d'autres que je n'ai pas noté y compris des entrepreneurs blacks dont la réussite est promue sur TV5, France 24, Rfi.

Vous remarquerez que cette brochette de personnalité est un éventail de toutes les classes d'âge et classe sociale possible. Un intellectuel
respecté du monde francophone, Un artiste respecté des indépendances, Une adolescente ayant connu la guerre, un jeune modeste ayant émigré de son pays vivant de petits boulots... Est ce des idoles et égéries pour inspirer les africains, quelques soit l'âge? On peut se poser la question.
Entre ambition pour le continent et ambition personnel. Entre l'émancipation personnel et émancipation du peuple car apparemment le système est ouvert. Et Le système recrute de bons Negres pour influencer la conduite des noirs à son égard. Nous savons l'apport positif des noirs comme Senghor dans la collaboration avec le colonialisme.
Une manière de dire aux Africains, vous pouvez faire partie du système, pourquoi aller contre? Et puis alterner dans l'actualité des noirs, les massacres par des nominations, c'est important pour ne pas trop assombrir l'image de la nation des droits de l'homme. Pour pouvoir dire, nous n'avons rien contre le noir même si nous agressons ses pays. La preuve, nous aimons bien le noir car nous le nominons.
C'est comme ce DON, par lequel, je cite: "La France réaffirme son soutien au Niger en 2014 avec près d'un Milliard de Fcfa au profit du PAM, de la FAO, et du Dispositif National de Prévention et de Gestion des Catastrophes et des Crises Alimentaires. Alors même que AREVA reste intransigeante. Et que l'Uranium du Sous sol Africain du Niger ne profite exclusivement qu'à l'entreprise française et à l'Etat français.


La logique de la résistance voudrait que les Africains aient une vision globale qui dicterait une conduite unique face à l'occupant en tout lieu, en toute chose et en tous moments jusqu'à ce que L'Afrique et les Africains auront recouvré leurs droits. A l'image de BOUSSOU DRAMÉ, cette senegalaise laureate du Concours National d'orthographe 2013 organisé par l'Institut français de Dakar. Une jeune Sénégalaise de 28 ans qui a renoncé à son prix, une formation dans l’Hexagone, pour dénoncer le mépris d'agents du consulat de France.
Un exemple de résistance qui doit nous inspirer. Si nous ne pouvons pas atteindre l'adversaire dans ses intérêts, nous devons faire l'effort de ne pas collaborer dans ses initiatives de sape. La résistance.